CR conseil etablissement 2 avril 2013

Conseil d’établissement du 2 avril 2013

Compte rendu commun à l’AF et l’APE

Personnes présentes:

Représentants de l’administration: Mme Droszewski (remplaçant M. Maizières, conseiller culturel adjoint), M. Sauzet (Proviseur), M. Marchand (Proviseur-Adjoint), M. Houdoin (directeur du primaire), M. Salama (gestionnaire comptable), M. Jublot (CPE)

Représentants des personnels: Mme Pichard, M. Resbeut, M. Ritter, M. Seguela, M. Messin, M. Lhamotte.

Représentants des élèves: M. Wiegner, M. Assi

Représentants des parents : Mme Blin (APE) , Mme Gardies (AF), M. Peyron(AF), Mme Rigaudy(AF)

Adoption de l’ordre du jour

M. Sauzet signale que les représentants des personnels enseignants du secondaire demandent que soit mis à l’ordre du jour un vote pour demander la résidentialisation d’un professeur de philosophie. Il est mis à l’ordre du jour dans la carte des emplois.

Concernant la question de la rédaction de l’ordre du jour pour les conseils d’établissements à venir, M. Sauzet mentionne qu’une circulaire AEFE confirme que c’est le chef d’établissement qui définit l’ordre du jour après consultation des différents intervenants sur la base des questions et des demandes transmises au préalable par ces derniers dans les délais mentionnés lors de la convocation. Ce délai est nécessaire à l’administration pour l’instruction préalable des questions. M. Seguela rappelle que cette demande émanant de M. Santini portait sur la possibilité de modifier l’ordre du jour en début de séance à la demande de 50% des membres du CE afin de pouvoir traiter de problèmes « d’actualité ». La demande n’est pas retenue dans le règlement intérieur.

Adoption du procès-verbal de la dernière réunion

Le procès-verbal du conseil d’établissement du 29 novembre est adopté. Il sera publié sur le site du LFIT.

Synthèses des derniers conseils

a)    Synthèse du Conseil d’administration (13/02/2013) de la fondation par M. Salama

Principaux points :

Question de M. Peyron (AF) : les droits de réinscription sont–ils inclus dans les frais de scolarité ?

Réponse : ils ne sont pas inclus dans les frais de scolarité mais ils ont également fait l’objet d’une hausse (de 15 000 yens à 19 000 yens) votée au Conseil d’administration de février.

b)   Synthèse du Conseil d’école (28/03/2013) par M. Houdouin

Principaux points :

CR conseil d’école ici

c)    Synthèse du Conseil du second degré (12/3/2013) par M. Marchand

Principaux points :

CR conseil du second degré ici

 Adoption de la nouvelle charte des voyages

La charte votée en 2006  nécessitait d’être rénovée.

Le principal changement porte sur le seuil maximal de participation aux frais demandés aux familles dans le cas d’un voyage hors Japon ; il est porté à 70 000 yens.

Sont rappelés les points suivants :

M. Ritter explique que les frais de séjour des enseignants sont inclus dans le budget du séjour (co-financé, en général, par les familles et la caisse de solidarité). En France, c’est à l’Etat et non à l’établissement qu’en revient la charge.

Question de Mme Blin (APE) : la tenue d’une réunion d’information des parents préalablement à l’engagement des familles est-elle une disposition nouvelle dans la procédure ? Elle fait remarquer que dans le cas de la classe de ski des 2nde qui n’a finalement pas eu lieu, aucune réunion n’a été proposée aux parents ce qui explique peut-être l’échec du projet.

Réponse : non, cette disposition n’est pas nouvelle. Mais comme le voyage avait déjà été proposé quelques années auparavant, les enseignants n’ont peut être pas cru nécessaire de le présenter à nouveau aux parents.

Mme Blin insiste sur le fait qu’il est important de respecter cette procédure qui peut permettre d’éviter des défections en chaîne des élèves par manque de motivation.

M. Peyron (AF) pense que ces défections sont dues au fait que de plus en plus de familles n’ont pas les moyens d’offrir ce voyage à leur enfant car les frais liés à la scolarité au LFIT sont de plus en plus lourds, et certaines familles ne souhaitent pas « faire appel à la charité » en demandant le concours de la caisse de solidarité. Il souhaiterait que soit spécifié dans la charte comment seront pris en charge les élèves qui ne participent pas au voyage.

M. Sauzet propose que soit ajouté dans la charte que les élèves ne participant pas au voyage sont pris en charge dans les autres clases de niveau équivalent.

Question de M. Peyron : la charte concerne-t-elle les séjours du type voyage de l’équipe de rugby à Singapour qui a eu lieu en mars, voyages qui semblent réservés à une « élite » ?

Réponse de M. Jublot : non, cette charte ne concerne que les voyages de classe autrement appelés « sortie pédagogique avec nuitée ».  Pour ce qui est du séjour à Singapour, il s’agit d’un projet interclasse de rencontre sportive entre les lycées de la zone Asie.

M. Houdouin précise que le projet rugby n’est pas « élitiste » car il est ouvert à tous les élèves et que la sélection ne se fait pas sur le niveau scolaire ou sportif mais sur la motivation et l’esprit d’équipe. Il ajoute que le projet « Ambassadeurs en herbe » était aussi ouvert à tous et pour ceux qui ne furent pas sélectionnés, la « défaite » fait également partie de l’apprentissage.

Au-delà de l’aspect « formateur » de ces projets (« Ambassadeurs en herbe », tournoi de rugby à Singapour), il est également utile de participer à ces rencontres pour faire connaître l’excellence du LFIT hors du Japon.

Carte des emplois

M. Sauzet  présente les réponses de l’AEFE aux demandes formulées au précédent CE :

M. Sauzet indique que par conséquent, l’administration se voit dans l’obligation de s’abstenir dans le vote portant sur la réitération de la demande de résidentialisation du professeur de philosophie.

M. Seguela, représentant des enseignants du secondaire, fait remarquer que le motif invoqué n’avait pas été porté à sa connaissance, et que par ailleurs, les cas d’enseignants résidents n’exerçant pas à plein temps ne sont pas rares. Il regrette la position de l’administration du LFIT qui consiste à s’aligner sur celle de l’AEFE.

M. Sauzet pense avoir joué son rôle en soutenant et présentant la demande de résidentialisation du CE auprès de l’AEFE et estime ne pas pouvoir se dissocier des décisions rendues par l’AEFE, se voyant lui-même comme un de ses représentants au CE.

M. Seguela souhaite que le CE maintienne sa demande étant donné qu’il s’agit de la 6ème année d’attente pour ce collègue.

M. Sauzet rappelle que lors de sa visite, la directrice de l’AEFE, Mme Descôtes, a évoqué le plafond d’emploi et que c’est peut-être pour cette raison que la demande a été refusée.

Mme Drozewski confirme qu’elle ne s’opposera pas à un avis de l’administration et que soumettre la même question risque de conduire à un blocage.

M. Seguela propose de reformuler la motion pour faire la demande de résidentialisation à compter de septembre 2014.

VOTE :            Pour : 9          Contre : 0      Abstention : 8

La demande est approuvée majoritairement.

Questions de l’AF

Côté ressources, toute possibilité de financement est d’abord recherchée pour couvrir au maximum les frais de voyage : appels à don d’entreprise, subventions AEFE (voyage à Hokkaido subventionné dans le cadre d’un projet sur les arts premiers), caisse de solidarité. Côté dépenses, il est à noter que le LFIT a certaines exigences en matière de sécurité concernant les transports et les structures d’accueil. M. Messin signale que malheureusement, il est rare que les élèves du LFIT puissent être accueillis dans des familles lors de voyages à l’étranger. C’est sans doute aussi dû au fait que les familles résidant au Japon n’ont pas la possibilité de rendre la pareille étant donné l’exiguïté des logements à Tokyo.

Il n’est pas possible d’organiser ces voyages du fait de l’agenda du baccalauréat. Cette année, le LFIT propose une cérémonie de remise des médailles et pourquoi pas quelque chose de plus convivial à cette occasion…

Cette présentation sera développée sur le nouveau site du LFIT. Le site internet du lycée est traduit à 80%. Une brochure trilingue va être faite en 2013/2014.

Elles sont un peu plus difficiles à organiser car les élèves ont moins de temps aux interclasses et à la pause méridienne (par rapport à Asakusabashi), à cause du temps de passage à la cantine plus long. Cependant, un représentant des élèves signale que les élèves parviennent facilement à organiser eux-mêmes ce genre de rencontres.

Des actions caritatives sont déjà organisées au sein du lycée : Mikambodge, course de l’Espoir, Clip NHK (cf vidéo), action pour la journée Sida…

De façon générale, les actions de solidarité doivent s’inscrire dans un cadre pédagogique et être bien expliquées aux élèves. Elles sont même souvent liées au programme scolaire  (exemple : vente de rubans pour Sidaction/programme SVT sur les MST).

M. Seguela signale que la réflexion sur les opérations de solidarité est à mener dans le cadre du CESC. Il ajoute qu’il serait sans doute souhaitable de mieux communiquer sur le déroulement et le sens de ces opérations auprès des familles.

Sur le principe, l’administration est favorable à ce type d’initiative et peut mettre à disposition des moyens si le projet est cohérent.

Une représentante AF propose que soit organisée l’année prochaine une course « Action contre la Faim ». Les bénéfices de la course elle-même pourrait être reversés à la « Caravane Bon Appétit » et les bénéfices de la buvette reversés au FSE / caisse de solidarité.

Une course de ce type peut être organisée au LFIT avec le concours de parents volontaires.

Les cartes de cantine ont été instaurées en février.  Le système est encore en rodage, il est donc normal que tout ne fonctionne pas encore parfaitement. Elle sera très certainement bien améliorée à la prochaine rentrée.

FLT-Fapée : l'association des familles du LFI Tokyo